Voici en quelques lignes l’histoire de Djesabel Keneos guerrière de l’Empire de Kryte
Famille et enfance :
La jeune Djesabel naquit, tel le phénix, des cendres qu’avait laissé la guerre au sein de l’Empire de Kryte contre les horribles Charrs.
Son grand père guerrier expérimenté, qui répondait au nom de Ailill Keneos avait côtoyé pendant un certain temps Saül D’Alessio père fondateur des blancs manteau.
Des rumeurs disent même que tous deux guerroyant ensemble auraient combattu ADDANC un monstre du pays d’Orr, cousin du minotaure qui dévorait de jeunes gens.
Saül et Ailill parviennent à le blesser mortellement dans sa grotte grâce à la pierre permettant de voir sans être vu.
Mais cette histoire est narrer par les anciens aucun écrit ne peut le confirmer.
Ailill avait pris pour femme une ouvrière prénommée Gawfyl, une brave femme qui se vouât au service de son époux.
Elle lui donna un fils prénommé Diancecht, mais cette dernière mourut alors que l’enfant naissait.
Diancecht se maria à son tour avec Danadön, une prêtresse dévouée à Dwayna, elle fut même prêtresse supérieure à la fin de sa vie dans un temple de l’empire de Kryte.
De cette union est née la jeune Djesabel.
Le prénom fut choisi par la mère au cours d’un rituel au solstice d’Hivers dans le temple de Dwayna.
Personne et surtout aucun homme ne savait ce qu’il se passait au cours de ces rituels.
Ceci a beaucoup affecté les relations du couple et dès son jeune âge Djesabel fut placée dans une école aux fins militaires.
Son père conduisit la jeune Djesabel dans une école sise à proximité des montagnes des Cimefroides.
Grâce au nom illustre de son grand père elle obtient une bourse pour accéder à l’étude du maniement des armes.
Djesabel se distingua rapidement dans l’art de la stratégie militaire et la protection rapprochée.
Elle porte un uniforme et se plie à la rude discipline de l’école, exposée par son accent prononcé de l’empire Kryte à la moquerie de ses camarades.
Elle se sentit isolée par son caractère susceptible et ombrageux, mal aimée, souffrant de solitude, loin des siens.
A la fin de ses études, elle choisie comme spécialité militaire la protection rapprochée.
Elle peaufina cette discipline encore pendant deux année, où elle sortie 7ème de sa promotion.
Le régisseur de l’école militaire le sieur Manarech Eskwin lui adressa ces quelques mots avant sont départ :
-- Djesabel tu va être livrée à toi même désormais, ce monde est cruel, parfois sans fois ni loi, ne te fit à personne, fait les bons choix, car ces choix vont être déterminant pour la suite de ta vie.
Soit forte, mais n’oublie jamais humilité. Respecte ton ennemi même quand tu lui donneras le coup de grâce.
Et souviens toi de ceci, il n’y a que le lâche qui jette la pierre au tigre blessé.
Djesabel :
*S’incline devant Manarech Eskwin*
Messire, en ce qui me concerne, jamais je ne me livrerais de bon gré, ni ne livrerai ma confiance à un conducteur de peuples qui ne soit pas pénétré de la conviction que, en conduisant son peuple, il conduit des hommes, des hommes en chair et en os, des hommes qui naissent, souffrent et, sans qu’ils le veulent, meurent, des hommes qui sont des fins en soi, et non seulement des moyens ; des hommes, enfin, qui cherchent ce que nous appelons le bonheur.
*Sur ces mots elle quitta le domaine*
Apres l’école militaire
Elle erra sur la terre de tyrie, pendant plusieurs lunes encore.
Elle fit de bonnes et de mauvaises connaissances.
Elle fut tromper pas de sois disant porteur de bonnes paroles.
Elle connue la douleur, la peine et la désillusion.
Des gens à qui elle faisait confiance, l’ont jugé et condamné parfois sans même le moindre procès.
Mais la louve solitaire, surnom que lui avaient donné des amis de passage mettait à profits toutes ces douleurs physique et morale.
Au lieu de sombrer dans l’amertume, elle forgea sont caractère et devenait de plus en plus forte.
Mais, dans cet univers hostile, un petit grain de sable, peut parfois redonner l’espoir à ce qui l’avait perdu.
Elle connu par de là ces batailles, des gens d’honneur, des fervents chevaliers à l’âme pure.
Ces hommes et femmes, lui parlèrent d’un Ordre dont un général était à sa tête.
Son nom Flavius de la Maison Ortael.
Elle appris que cette confrérie fut fondée sous le règne de Nicolas le Vert.
Que ce dernier par manque de charisme et d’ingérence avait été renversé.
Djesabel demanda à rencontrer ce général et ce aux fins de lui vouer allégeance.
Djesabel intégra l’ordre des chevaliers de l’Equinoxe, sans faille elle su tenir avec honneur les paroles de son serment d’allégeance au Maître de L’Ordre.
Elle fut la fondatrice de la Caste des Paladins chevaliers du Temple et devient officier.
Mais les tumultes et les forces obscures ont envahi cette confrérie. Le général Ortael voyant cela pris la décision de quitter le domaine.
Il demanda qui voulait le suivre. Les fidèles de la première heure et ceux qui croyaient en lui, sans hésitation ont emboîté son pas et bien sur Djesabel Keneos ferma son bureau des Paladins avec un pincement au cœur et parti avec son chef des premiers jours.
Maintenant une aire nouvelle s’ouvrait à eux !!! L’Aire de l’Ordre du Dragon Blanc !!!