Un objet mystérieux

*Le soir tombé sur le domaine de l’Ordre du Dragon Blanc, Djesabel revenant d’un périple avait appris une chose qu’elle devait dire à ses amis, épuisée, elle se dirigeât vers la taverne pour s’y relaxer, en ce lieu elle y rencontrerait bien un visage familier, en lequel elle pourrait se confier aisément. Elle salua un homme avant d'y rentrer*



*Elle entra dans l’établissement des lampions l’éclairait. Beaucoup de personnes s’y trouvaient. Valten un peu à l’écart et assez solitaire comme toujours, qui lui fit un geste de la tête, dames Messa et sa sœur de sang Séréna, mais tous n’étaient pas là, les autres iraient certainement faire un tour pour prendre un peu de bons temps. *

*Elle pris place prêt du Sieur Valten et des deux magiciennes. Elle commanda un verre d’hydromel au tavernier. Puis elle se mit à parler à voie basse, sachant pertinemment que des oreilles affûtées l’entendraient*

J’ai appris que dans une vallée dans le grand Nord du continent Tyrien existe une arme fantastique *lève son verre en terre cuite et commence à boire*

Un espèce de fléau d’arme de facture de magicien.
L’acier est fait d’un alliage vert, qui lui confère légèreté, flexibilité et une extrême résistance aux dommages physiques de toute sorte. Des runes sont gravées sur le manche.

La garde est en acier recouvert de feuille d’or de différentes couleurs, avec des incrustations de manganèse et d’argent.

Le pommeau est en argent massif, ce qui donne un parfait équilibre à cette arme.

Des gemmes ornementent cette pièce rare: Un gros diamant taillé en table est enchâssé dans le pommeau à la base de la jointure entre le bois et l’acier, deux émeraudes en cabochon forment les yeux du dragon stylisé de la garde, deux saphirs sont sertis sur la boule épineuses, six perles noires ornent la garde.

Cette arme à un nom, Povërias qui veut dire le pouvoir dans la langue des anciens.

Povërias fut forgée il y a des millénaires par une magicienne du nom d’Eridlal, que la légende retint sous le surnom de Dame de Radiance. Elle servait les pouvoirs du Bien et de la Lumière, et avait un jeune frère nommé Rhivedal, Paladin de la Lumière.

Pour lui, et afin de l’aider dans sa lutte contre le Mal et les Ténèbres, elle forgea une arme exceptionnelle. D’autres versions disent que l’arme disparut à sa mort, et doit réapparaître ailleurs pour trouver un nouveau porteur.

Le nom que l’arme a choisi est celui de sa créatrice, mais elle se manifeste à quelqu’un qui connaît son nom magique. Elle désire cependant qu’on l’appelle Povërias.

Nous pourrions constituer une équipe pour partir à sa recherche et la découvrir, peut être l’un de nous serait son nouveau porteur, pourquoi pas notre Général ?

*Valten etait assie,ou plutot à moitier allongé sur la table. Il bailla d'un air nonchalent, ses yeux rougies,non pas par l'alcool mais par la fatigue.
Il dormait peu,et lorsqu'il le faisait cela ne durait pas plus de quelques heures avant que les cauchemards ne le reprénnent, alors,pour ne plus réver,il avait décidé de ne plus dormir.

Il écouta le discours de Djesabel,toujours à moitier avachie sur la table puis il parla à son tour,se passant une main sur la nuque.*

-J'ai deja un travail en cour pour ma part et il sera loin d'etre évident.
Je ne vais pas me lancer dans une chasse à l'artefact magique qui,avec ma chance, ne me rapportera rien.
Je préfére rester concentré sur le vol du joyaux que l'on ma confié et qui lui me rapportera un gros paquet de pieces d'or.

*Il machonna quelque peu puis vida son vérre*

Je suis sur que le Général sera interessé,il collectionne les armes et adore ce qui est un peu...* il fit un geste de la main,la faisant virevolté* Fantasque.

*caché dans l'ombre de la taverne, sans avoir fait un bruit, il sort de l'ombre, pas un cliquetis d'armure n'a pu le trahir, peut etre est-ce parce qu'il se vetit de peau de loup, son armure contenant casiment aucun métal, il avait écouté le discour de Djesabel*

*Il salue les 2 personnes puis d'un ton qui ne permet pas de répondre*

J'en suis ! Dites moi quand nous partons

[i]Assise à une petite table, une femme sans âge était absorbée par la consomation d'une soupe sans saveur. Elle leva les yeux, soudain attirée par des éclats de voix venant du comptoir. Fixant soudain Djésabel, sa bouche se tordit dans un rictus contrastant avec un regard attendri. Puis, replongeant son attention dans son écuelle, elle déclara :
" Quelle noble cause, et quelle grandeur d'âme. Monter une équipée qui pourrait s'avérer mortelle pour faire un cadeau. C'est touchant. Trés touchant. "

A ces mots, Abbygoth sourit et répondit en repoussant nonchalemment son reste de soupe qui n'avait plus aucun intéret devant une chope.
- Je peux comprendre cela. Mais nous ne nous sommes pas présentées. Je me nomme Abbygoth Bailly. J'ai une amie au sein de votre ordre qui m'a mandé en ces lieux, et je sais, de par ses lèvres, que quiconque porte cette cape est digne de confiance. Je crois donc ce qui vous anime. Mais prenez garde. Le pouvoir lui-meme est une arme. Et lorsque que l'on doit s'en servir, ce n'est que trés rarement juste. Réfléchissez bien entre "remettre et détruire".

*Djesabel se mis à rire aux éclats*

N’ayez crainte dame Abbygoth, je n’ai aucun souci !!!

*Elle fit appel à un garde qui se touvait non loin de là. Puis s’adressa à nouveau à la Gente Dame.*

Bien, surtout restez calme !! Avancer encore de quelques pas en direction du Dôme dame Abbygoth, je vous en prie!!

*Djesabel avait un petit sourire aux lèvres. Dame Abbygoth s’avança de quelques mètres, quand à sa grande surprise le Drakôn le Dragon blanc surgit de nulle part, terrifiant.*



Djesabel : Arrête Drakôn, Dame Abbygoth est une amie qui voulait tester l’inviolabilité des lieux !!!

Drakôn *Voie grave et raisonnante* Bien Djesabel !!

*Drakôn parti comme il était venu*

Abbygoth n'eu meme pas le temps de sortir sa hache tellement elle fut surprise de la réponse. Quand le dragon blanc eu disparu, elle tourna un regard ulcéré vers Djesabel mais ne dit mot, trop honteuse de s'être laissée surprendre. Puis, ayant calmé les sacade de son coeur, elle déclara:
Dame, je ne vous dirai qu'une chose: On en apprend tous les jours. Je dois à présent prendre congé. Si vous devez me quérir, adressez-vous à Dame Loreliane, elle saura ou me trouver.
Elle se pencha légèrement en avant et sans qu'aucune expression ne se lise sur son visage, elle fit volte face et s'éloigna.

Abbygoth marchait d'un bon pas, comme chaque fois qu'elle se rendait en un lieu précis. Elle ne pouvais s'empçecher de repenser à ce superbe dragon.
**Seule une âme au coeur pur peut ce lier à ce genre de créature. Est-ce possible que Dame Djesabel ait pu conserver tant d'innocence? Comment garder un coeur leger parmis tant d'atrocités qui défiles chaque jour devant nos yeux? **
Elle refusa de laisser ses pensées sombrer plus loin, car elle arrivait à sa tanière. Elle aurait pu choisir le confort d'une auberge, mais elle préférait l'isolement au bruit de vains palabres. Le ciel virait au noir, la lune virait à l'or. Le vent soufflait un peu fort, faisant gronder les vagues sur les récifs; mais elle n'en avait cure. Pelotonnée sous une épaisse cape, les yeux mi-clos, fixant l'horison, elle laissa enfin errer ses pensées dans la brume de ses souvenirs...