Le retour

*La nuit tombait sur le domaine, quelques étoiles brillaient dans le firmament. Dans le ciel sombre, on pouvait entendre le claquement de grandes aile. Un bruit sourd, bien cadencé et dans le noir des cieux on distinguait les formes blanches d’un Dragon blanc. Ce grand prédateur se posa et une silhouette cagoulée descendit de la bête.*



*La personne se dirigeât vers la taverne. Il faisait très sombre, et lorsqu’elle entra on distinguait très mal qui cela pouvait être, de plus les réverbères de la salle ne faisaient qu’amplifier cette non reconnaissance de la silhouette.*



*La personne observa les convives qui se trouvaient dans la salle et pris la parole.*

Que vois je ? Des gens qui devraient être là et qui n’y sont plus !! Des nouvelles têtes et des têtes plus familières !!

*Elle observa longuement Dame Lore assise au fond de la salle*

Après avoir affronté les monts venteux des cimefroides du Sud, en passant par les mines des Nains du Grand Nord, je suis de retour chez moi au domaine.

*Elle retira sa cagoule*

*Un voie s’éleva, parmi les convives* Commandeur Keneos Djesabel !!!

*Elle regarda le convive et lui dit*

Oui oui, c’est ainsi que l’on m’appelait jadis, avant que je ne parte dans la vallée des Dragons !! Djesabel Keneos la gardienne des dragons.

Aujourd’hui je suis Djesabel Keneos la conseillère des Dragons blancs !! *Elle sourit* Et je suis de retour parmi vous, mes amis, pour vous aider à porter votre fardeaux qui consiste à l’élimination des ténébreux dans les 3 continents.

Je viens reprendre ma place à la tête du Bastion des gardes d’élites avec Drakôn et son fils Gorkân !!

Abby, en entendant sa voix, leva brusquement la tête de sa pinte et ne put s'empêcher d'afficher un large sourire. Cependant, elle se contenta de se lever, attendant que l'agitation qui règnait autour du commandeur cesse. Quand enfin, son tour de regard s'arreta sur elle, elle s'aprocha lentement.

- Fidèle et fraternelle. Ordonnez et nous accourrons. Nous avons bien besoin d'un guide, en effet. Boucoup d'entre nous se sentaient perdus et votre absence s'est faite cruellement sentir.

Trop émue de se retrouver face à la première personne qui l'avait acceuillie au sein de l'ordre, elle en oublia les règles d'étique et empoigna son avant bras avec plus de force qu'elle ne le voulait.

- Bon retour parmis nous.